Matière première : La mauvaise qualité coûte chère
De ce que j’ai vu. On perd le temps lorsque l’on s’embrouille l’esprit.
Un imprimeur reçoit une commande urgente. Il se fait livré du papier de seconde qualité par son fournisseur pour l’exécution du travail. Une fois dans la chaîne de production, le papier pose problème sur l’unité de production (la machine de presse). Il perd tout l’avant-midi pour les réglages et la mise en route suite au papier qui ne cesse de se froisser à chaque passage dans la machine.
Après inspection technique, aucune panne, la machine est en parfait état de fonctionnement. Qui est le coupable ?
Vous l’avez compris ! C’est le papier. Il est de mauvaise qualité. Pour se sortir de ce mauvais pas, il doit commander de nouveau la même quantité de papier mais de première qualité cette fois.
Tout compte fait l’imprimeur en cherchant à gagner sur le prix d’achat de sa matière première s’est vue perdre de l’argent dans l’amortissement des ses installations et de la main-d’œuvre parce que pendant plus d’une demi-journée, il n’a rien produit mais devra payer le personnel pour le temps passé sur le lieu de travail, donc ses charges sont demeurées inchangées. A cela s’ajoute le fait qu’il opère une seconde commande de papier de meilleure qualité.
Avec un peu de bon sens, une seule commande de bonne qualité de papier aurait suffit pour l’exécution du travail dans les temps impartis d’autant plus que le coût de son service d’impression est fixé par lui. Lucidité, clarté d’esprit sont de mise dans la production. A bon entendeur…
Un imprimeur reçoit une commande urgente. Il se fait livré du papier de seconde qualité par son fournisseur pour l’exécution du travail. Une fois dans la chaîne de production, le papier pose problème sur l’unité de production (la machine de presse). Il perd tout l’avant-midi pour les réglages et la mise en route suite au papier qui ne cesse de se froisser à chaque passage dans la machine.
Après inspection technique, aucune panne, la machine est en parfait état de fonctionnement. Qui est le coupable ?
Vous l’avez compris ! C’est le papier. Il est de mauvaise qualité. Pour se sortir de ce mauvais pas, il doit commander de nouveau la même quantité de papier mais de première qualité cette fois.
Tout compte fait l’imprimeur en cherchant à gagner sur le prix d’achat de sa matière première s’est vue perdre de l’argent dans l’amortissement des ses installations et de la main-d’œuvre parce que pendant plus d’une demi-journée, il n’a rien produit mais devra payer le personnel pour le temps passé sur le lieu de travail, donc ses charges sont demeurées inchangées. A cela s’ajoute le fait qu’il opère une seconde commande de papier de meilleure qualité.
Avec un peu de bon sens, une seule commande de bonne qualité de papier aurait suffit pour l’exécution du travail dans les temps impartis d’autant plus que le coût de son service d’impression est fixé par lui. Lucidité, clarté d’esprit sont de mise dans la production. A bon entendeur…